Le ciel s’assombrissait petit à petit, des nuages sombres recouvraient les alentours des ruine de l’ancienne Midgar, tout était calme et il n’y avait personne dans les horizons. Soudain des entrechocs de lame se firent entendre, des particules d’énergie apparurent également, le tout comme pour se remémorer le dernier combat de la légende, et après quelques instants, un tourbillon se forma s’allongeant de plus en plus vers le sol. Un éclat sombre dont la source se trouvait au centre de ce qui ressemblait à présent à une tornade qui n’avait pas de contact avec le sol, de cette source, une silhouette fut projeté vers le sol avec une vitesse et une extrême violence dans les débris provoquant un cratère autour de la personne qui se tenait debout, un katana dont la lame gigantesque faisait frémir les plus courageux dans la main gauche, tête baissé, celui que l’on appelait le Cauchemar était de retour… Sephiroth…
Je relevais la tête lentement, observant attentivement le décor qui se présentait face à moi, la vie m’avait était une fois de plus restitué, ma fin n’était pas prête d’arrivée. Il y avait tout de même une chose différente, j’était calme et serein, conscient de mes actes passés, mais à présent en complète contradiction avec ma volonté, ce n’était pas la mienne, mais celle de « Mère », non plutôt celle de Jenova… A présent je ne la considéré uniquement pour ce qu’elle était, le Cataclysme tombé du ciel…
Le plus important à présent s’était que je sois là, mais les raisons de ce retour m’était inconnue, je me devais de les découvrir, et en plus de cela, une revanche à prendre…
- Cloud… Tu ne t’en sortiras pas indemne… Même si je n’étais pas moi-même, je ne resterais sur des échecs… A présent que j’ai récupéré toute mes facultés… Ce ne sera pas aussi simple…
Je sauta dans les airs, en direction du sommet d’une tour à moitié détruite, sentir de nouveau le vent sur mon visage était agréable, une fois en hauteur je contemplais un paysage des plus lugubre, malgré le ciel qui s’éclaircissait de plus en plus, les vestiges des ruines dégagées une certaine tristesse que je pouvais ressentir. Mais ce n’était pas le moment de m’attarder là-dessus, où devais-je allé ? Je ne le savais pas encore, seulement une chose m’interrompit dans ma réflexion, une silhouette se déplaçait dans les débris, je n’arrivais pas à distinguer qui cela était, et fonça en un éclair à environ trente mètres de cette personne et me posa délicatement sur le sol, sans montrer aucun signe d’hostilité…